Dans le cadre de ce premier mondial de la praline à Lyon, GRDF démontre la place du gaz et notamment du gaz renouvelable, au sein de la gastronomie. Du potager ancien à l’assiette, et de l’assiette à la méthanisation, il n’y a qu’un pas. La consommation du gaz vert en cuisine, c’est un pas de plus vers la transition énergétique, et l’économie locale et circulaire que prône le CFA.

L’occasion de le rappeler, lors de la remise de prix, avec la présence de Grégoire Boehm, directeur territorial de Lyon Métropole (GRDF) aux côtés de l’équipe GRDF qui a accompagné le projet pédagogique et de réhabilitation du patrimoine autour d’un mix énergétique de qualité.

La place du gaz dans la gastronomie

Le gaz, énergie la plus utilisée dans la gastronomie française, se verdit. Ainsi, demain, en plus de permettre au cuisinier de faire cuire ses plats au gaz ; ses biodéchets lui permettront en retour, de consommer une énergie vertueuse.

Indispensable à l’équilibre énergétique, le gaz vert est produit à partir de déchets agricoles, de boues de stations d’épuration mais également de biodéchets issus de la restauration, des ménages et de l’industrie-agroalimentaire. Dès lors, les épluchures de la gastronomie pourront permettre l’alimentation de leurs fourneaux, fours à pain, chauffage et rafraichissement des salles de restaurations.

En totale corrélation avec l’avenir de la Gastronomie Responsable : repas de saison, avec des produits locaux et éco-responsables ; le gaz vert s’intègre pleinement au cercle vertueux de la cuisine de demain.

À savoir :

Du vendredi 28 au 30 octobre prochain, n’hésitez pas à vous rendre au Château de Lacroix Laval à 20 min de Lyon, pour découvrir une exposition consacrée à l’histoire de la Praline et le Petit Marché Rose (30 exposants, métiers de la bouche, créateurs, artistes, ...) qui vous proposeront des dégustations, des découvertes et animations.